Comme nous, les Romains avaient un calendrier, qu’ils désignaient du nom de fasti. Il comportait, comme le nôtre, douze mois de trente ou trente et un jours, exception faite du mois de février, qui comptait, lui aussi, un jour de plus tous les quatre ans. Rien de surprenant dans cette ressemblance : ce sont les Romains qui, pour l’essentiel, ont mis au point tout cela et nous l’ont transmis.
Ils ne fêtaient pas, bien sûr, le saint du jour, mais ne se privaient pas de célébrer des fêtes en l’honneur de leurs dieux ou de commémorer les grandes dates de leur passé.
Au début de notre ère, Ovide composa un poème dans lequel il commente ce calendrier. Il y explique l’origine des fêtes religieuses, rappelle certains faits historiques, indique le lever et le coucher des constellations. Il ne traita que les six premiers mois de l’année.
Ce poème en six livres s’intitule Fasti.
Nous en avons retenu six passages, un pour chaque mois.
Ils ne fêtaient pas, bien sûr, le saint du jour, mais ne se privaient pas de célébrer des fêtes en l’honneur de leurs dieux ou de commémorer les grandes dates de leur passé.
Au début de notre ère, Ovide composa un poème dans lequel il commente ce calendrier. Il y explique l’origine des fêtes religieuses, rappelle certains faits historiques, indique le lever et le coucher des constellations. Il ne traita que les six premiers mois de l’année.
Ce poème en six livres s’intitule Fasti.
Nous en avons retenu six passages, un pour chaque mois.